Quand je m’imaginais enseigner le vélo à mon neveu de tout juste cinq ans, je nous voyais passer un moment agréable et mémorable qui lui ferait aimer toute sa vie ce sport. Disons que ce n’est pas tout à fait ce qui s’est passé. Pour décrire la scène, je parlerais plutôt d’opposition, d’angoisse et de réactions démesurées à l’idée de tomber d’un demi-mètre, soit la hauteur d’un vélo muni de petites roues.