« Savoir complètement déconnecter du travail, c’est un art. Ça prend des années d’expérience pour apprendre à tout fermer, rentrer à la maison et profiter de ce temps libre. En déploiement, c’est encore plus difficile de se détacher du travail parce que les journées sont plus longues et certaines situations nécessitent d’intenses réflexions en mode résolution de problème. »
Marina Dovell a acquis une grande expérience en matière de repos lors de déploiements de la Croix-Rouge. Elle a commencé son bénévolat en 2015 après avoir pris sa retraite du gouvernement de la Saskatchewan. Marina fait maintenant partie de l’équipe de préparation du personnel humanitaire et met son expertise à profit lors de différentes opérations partout au pays.
Elle est intervenue à l’occasion de multiples sinistres de grande envergure au fil des ans. En août et en septembre dernier, Marina a été déployée à deux reprises au Manitoba comme gestionnaire de site en soutien aux membres des communautés des Premières Nations forcés de se réfugier dans des hôtels de Winnipeg à cause des feux de forêt.
Marina a différentes stratégies pour se détendre lors de ses journées de congé en déploiement :
« Je fais du coloriage pour adultes. J’apporte mes livres en déploiement et je fais un coloriage par jour. Ça m’aide à relaxer et à rester concentrée. »
Les tactiques pour se reposer après une journée difficile varient d’une personne à l’autre, mais tout le monde peut ressentir de la solitude lors de longs séjours loin de la maison.
« Absolument. Je m’ennuie d’être chez moi, avoue Marina. Je profite des réseaux sociaux et j’utilise FaceTime pour parler avec mon mari et mes enfants. »
Socialiser de façon responsable avec les collègues pendant un déploiement est essentiel, d’autant plus en temps de pandémie.
« Une des choses que j’aime avec la Croix-Rouge, c’est apprendre à connaître de nouvelles personnes et socialiser avec elles en dehors des heures de travail. Maintenant, avec la COVID, c’est différent, explique-t-elle. Ce n’est plus possible de sortir en groupe chaque soir, mais on peut essayer de se créer une petite bulle sociale ou de toujours faire ses activités avec la même personne tout au long du déploiement. »
Après son récent séjour au Manitoba, Marina est retournée chez elle, à Balgonie, en Saskatchewan. La Croix-Rouge canadienne est extrêmement reconnaissante de pouvoir compter sur des bénévoles aussi dévoués pour aider les personnes qui en ont besoin. Découvrez d’intéressantes possibilités d’emploi et de bénévolat.
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Marina Dovell a acquis une grande expérience en matière de repos lors de déploiements de la Croix-Rouge. Elle a commencé son bénévolat en 2015 après avoir pris sa retraite du gouvernement de la Saskatchewan. Marina fait maintenant partie de l’équipe de préparation du personnel humanitaire et met son expertise à profit lors de différentes opérations partout au pays.
Elle est intervenue à l’occasion de multiples sinistres de grande envergure au fil des ans. En août et en septembre dernier, Marina a été déployée à deux reprises au Manitoba comme gestionnaire de site en soutien aux membres des communautés des Premières Nations forcés de se réfugier dans des hôtels de Winnipeg à cause des feux de forêt.
Marina a différentes stratégies pour se détendre lors de ses journées de congé en déploiement :
- Se reposer seule dans sa chambre d’hôtel
- Regarder Netflix
- Partir à l’aventure en plein air
- Faire du coloriage
« Je fais du coloriage pour adultes. J’apporte mes livres en déploiement et je fais un coloriage par jour. Ça m’aide à relaxer et à rester concentrée. »Les tactiques pour se reposer après une journée difficile varient d’une personne à l’autre, mais tout le monde peut ressentir de la solitude lors de longs séjours loin de la maison.
« Absolument. Je m’ennuie d’être chez moi, avoue Marina. Je profite des réseaux sociaux et j’utilise FaceTime pour parler avec mon mari et mes enfants. »
Socialiser de façon responsable avec les collègues pendant un déploiement est essentiel, d’autant plus en temps de pandémie.
« Une des choses que j’aime avec la Croix-Rouge, c’est apprendre à connaître de nouvelles personnes et socialiser avec elles en dehors des heures de travail. Maintenant, avec la COVID, c’est différent, explique-t-elle. Ce n’est plus possible de sortir en groupe chaque soir, mais on peut essayer de se créer une petite bulle sociale ou de toujours faire ses activités avec la même personne tout au long du déploiement. »
Après son récent séjour au Manitoba, Marina est retournée chez elle, à Balgonie, en Saskatchewan. La Croix-Rouge canadienne est extrêmement reconnaissante de pouvoir compter sur des bénévoles aussi dévoués pour aider les personnes qui en ont besoin. Découvrez d’intéressantes possibilités d’emploi et de bénévolat.
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