Nicole O. Melanson, gestionnaire pour les communications internes de la Croix-Rouge canadienne, a participé au cours d’été intensif sur le droit international humanitaire (DIH). Dans ce billet, elle partage les cinq leçons les plus importantes tirées de cette expérience.
6
Plus récents billets
Imaginez le bruit des espadrilles sur un terrain de basketball, l’adrénaline d’un match serré et la sensation d’inscrire un panier de trois points. Imaginez maintenant que la scène vire au cauchemar. C’est ce qui est arrivé à Adam Boyles, un homme de St. John’s, à Terre-Neuve-et-Labrador, qui a récemment reçu le Prix du secourisme à l’œuvre de la Croix-Rouge canadienne pour ses actions héroïques lors d’un match amical de basketball.
En se réveillant le matin du 26 février, John se sentait en pleine forme et prêt à retourner au gym. À son arrivée, l’instructeur de conditionnement physique, Rob Nardecchia, lui a attribué la dernière station ouverte, qui se trouve dans le coin près de l’entrée. Le groupe commençait à peine les exercices d’échauffement lorsque John s’est écroulé au sol.
La mésinformation occupe une place prépondérante dans notre monde où l’information n’a jamais été aussi accessible. Parfois mineure et plutôt inoffensive, la mésinformation peut aussi entraîner des conséquences extrêmement graves. À l’échelle du Mouvement international de la Croix‑Rouge et du Croissant-Rouge, la mésinformation peut nuire à l’acheminement de l’aide nécessaire et empêcher certaines personnes de recevoir l’assistance dont elles ont besoin. Mais qu’est-ce que la mésinformation, et comment pouvons-nous la reconnaître et la contrer?
Le Programme d’appels amicaux de la Croix-Rouge canadienne a su offrir une oreille attentive à Regina pendant une période plus difficile dans sa vie. Regina a trouvé bien plus que du réconfort auprès de Jan, une bénévole empathique du programme. Une relation d’amitié s’est installée : « On dirait qu’elle me connaît depuis toujours ».
Dans les Territoires du Nord-Ouest, des personnes cherchant à échapper aux feux de forêt ont roulé vers le sud pendant plus de 20 heures pour se mettre à l’abri. Michele Michetti, âgée de 29 ans, se souvient d’avoir vu les flammes, mais ce sont les personnes qu’elle a rencontrées en chemin qui resteront gravées dans sa mémoire.
Kym Porter a su transformer une tragédie en triomphe et consacre désormais sa vie à la réduction des méfaits associés aux opioïdes. Jour après jour, avec toute la compassion du monde, elle donne à sa communauté les moyens de lutter contre la crise des opioïdes en offrant des formations sur l’administration de la naloxone et en réduisant la stigmatisation associée à l’utilisation des opioïdes. Aujourd’hui, nous nous penchons sur l’histoire incroyable de Kym, sa résilience inébranlable et sa mission de créer un monde meilleur pour les personnes touchées par la consommation de drogues.
Au cours des dernières années, la crise des opioïdes a durement frappé le Canada, nécessitant la mise en place de mesures d’urgence et de solutions novatrices. Au cœur de cet enjeu majeur, des personnes dévouées comme Judi Frank ont ravivé l’espoir et propulsé le changement. Nous avons pris le temps d’en apprendre davantage sur le parcours inspirant de Judi, sur son travail dans le domaine de la réduction des méfaits associés aux opioïdes, sur le rôle essentiel de l’engagement communautaire et sur l’importance de prendre soin de soi pour éviter l’usure de compassion.