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Une chose que j’adore de mon neveu, c’est sa prudence. Contrairement à sa cousine, qui est plus intrépide et aime pousser ses limites, il m’inquiète rarement quand je le garde. Même si sa maladresse lui vaut parfois des petits bobos, ce n’est rien comparé à ma nièce. Malgré cela, il m’a causé quelques moments de panique la fin de semaine dernière, et j’étais bien heureuse d’avoir téléchargé l’application de secourisme de la Croix-Rouge canadienne sur mon téléphone. Cela m’a permis de garder la tête froide, de bien prendre soin de lui et de remettre en question mes premiers instincts assez malavisés.

Fatima Olympia est une infirmière spécialisée qui travaille dans les salles de travail et d’accouchement à l’hôpital de district de Nhamatanda. Dans cette région du Mozambique, le cyclone Idai a tout rasé sur son passage, y compris l’hôpital. Appuyée par la Croix-Rouge finlandaise, la Croix-Rouge canadienne est intervenue en aménageant un hôpital mobile pour traiter les cas de choléra et de malaria afin d’alléger la tâche de l’établissement régional.

Pour Shelley Cardinal, tout a commencé lorsque que son père lui a raconté sa souffrance et les abus qui lui ont été infligés dans sa jeunesse. Elle a su qu’elle voulait faire carrière en accompagnant les personnes ayant vécu des traumatismes semblables vers le chemin de la guérison. 

Le 20 juin, Journée mondiale des réfugiés, la Croix-Rouge canadienne a lancé sa nouvelle ressource interactive en ligne, Pris au piège. Conçu pour les enseignants et les élèves de 13 à 18 ans, Forced to Fight vise à amener les élèves à mieux comprendre ce que sont le le droit international humanitaire (DIH) et les enjeux humanitaires, en leur permettant de de se mettre virtuellement à la place de trois jeunes qui vivent les conséquences de conflits armés dans le monde.

Tout le monde a déjà vu une scène de noyade au grand écran, où la victime gesticule et s’époumone pour crier au secours. Ce scénario ne reflète nullement la réalité. En fait, un être cher pourrait se noyer à quelques mètres de vous sans que vous vous en rendiez compte, car la noyade tue en silence.

Au printemps 2018, tout comme des milliers d’autres personnes habitant le long du fleuve Saint-Jean, au Nouveau-Brunswick, Bessie et Ray Froud ont dû quitter leur domicile pour se mettre à l’abri de la crue des eaux. N’ayant nulle part où aller, ils se sont tournés vers la Croix-Rouge canadienne; tous deux ont pu être hébergés pendant les trois semaines qu’a duré leur évacuation.

Lorsqu’une catastrophe d’une envergure comparable aux inondations printanières actuelles se produit, il s’agit d’une situation très stressante pour les sinistrés. Les personnes qui vivent une situation de crise sont susceptibles de ressentir un niveau de stress très élevé, et il est important de se rappeler qu’une telle réaction est tout à fait habituelle dans les circonstances. 

« Je suis bénévole pour aider les autres. Moi, j’ai du temps à donner. Quand les gens repartent la tête un peu plus haute, je sens que j’ai tout donné »