Le printemps est enfin à nos portes et la neige ne devrait pas tarder à fondre. Et lorsque les températures montent en flèche, il faut être prêt pour la période de dégel.
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Quand on parle du summum d’intervention en mesure d’urgence, on fait souvent référence à la tempête du siècle : la crise du verglas de 1998. Quelque 1 340 000 clients d’Hydro-Québec avaient été coupés du monde parce qu’ils avaient perdu l’électricité. À titre de comparaison, le 2 novembre au matin, on commençait déjà à constater l’importance des dégâts causés par les forts vents de la veille. Déjà plus de 980 000 foyers étaient privés d’électricité.
Depuis deux semaines, les passagers d’un bateau de croisière ont été mis en quarantaine en raison d’une flambée de COVID-19. Les Canadiens qui ne présentent aucun symptôme et pour qui aucune trace du virus n’a été dépistée peuvent maintenant rentrer au Canada, où ils passeront quatorze jours supplémentaires en isolement.
Imaginez : une catastrophe frappe et des milliers de gens sont potentiellement blessés ou coincés. Par où commencer pour évaluer les dégâts? Délimiter la région touchée? Repérer les endroits où les besoins sont les plus criants? Grâce aux avancées technologiques comme les drones, les organismes humanitaires peuvent rejoindre plus rapidement les personnes dans le besoin.
C’est après 30 heures de déplacement et plusieurs jours d'isolement à Wuhan, en Chine, que les premiers voyageurs ont été accueillis par une ovation debout dans le hangar à avions de la Base des Forces canadiennes Trenton, en Ontario.
Le 12 février est la Journée internationale contre l’utilisation des enfants-soldats. Saviez-vous que des enfants sont utilisés ou sont forcés de combattre dans des conflits armés partout dans le monde, ce qui a des conséquences dévastatrices, tant sur l’enfant que sur la société?
Le 7 février, des Canadiens ont été rapatriés à la Base des Forces canadiennes de Trenton. Ils sont partis de Wuhan, en Chine, après l’éclosion du nouveau coronavirus. Pendant une période de 14 jours, ils seront en isolement dans un site d’hébergement temporaire, où on surveillera leurs symptômes avant qu’ils puissent rentrer à la maison. La Croix-Rouge canadienne est présente sur les lieux pour leur offrir un soutien.
Qu’il s’agisse d’un nouveau virus, de feux de forêt ou d’inondations, on voit souvent circuler de l’information inexacte, trompeuse, voire complètement fausse sur les médias sociaux et par le bouche-à-oreille dans les premiers jours qui suivent une situation d’urgence. Pourquoi? D’où vient cette information erronée et quel effet a-t-elle sur les intervenants?