Depuis le début de la saison des feux de forêt en Colombie-Britannique à la mi-juin, plus de 1 600 feux de forêt ont été enregistrés dans la province, consumant plus de 868 000 hectares de terre et forçant des milliers de personnes à évacuer leur domicile. La Croix-Rouge canadienne a déployé près de 200 employé(e)s et bénévoles de partout au pays pour aider les personnes, les familles et les communautés touchées par cette catastrophe.
Interventions d'urgence 7
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« J’ai l’impression que la guerre au Biafra a fait la manchette tous les soirs pendant des semaines. On entendait toujours parler des combats, des enfants qui mouraient de faim, des personnes déplacées, se souvient-elle. Je me rappelle aussi que la Croix-Rouge était sur le terrain pour leur venir en aide. » Malgré ce spectacle de la misère humaine, la fillette annonce un jour en pointant la télévision qu’elle sait ce qu’elle veut faire quand elle sera grande : elle sera travailleuse humanitaire pour la Croix-Rouge. Et elle n’en a jamais démordu.
La Croix-Rouge canadienne dispose d’une Équipe de réponse aux urgences (ERU) et d’un hôpital mobile prêts à être déployés au Canada et à l’international au cours d’interventions d’urgence. Les ERU peuvent opérer de manière complètement autonome dans des régions isolées où les ressources sont limitées pour répondre aux besoins sur le terrain. La plupart des cliniques de santé d’urgence de la Croix-Rouge canadienne sont déployées pendant quatre semaines. À l’automne 2020, le Manitobain Garry Enns a été le premier travailleur humanitaire de la Croix-Rouge canadienne à appuyer le déploiement de la clinique du début à la fin.
Le 30 août, la Croix-Rouge canadienne et les membres du Mouvement de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge soulignent la Journée internationale des personnes disparues. Cette journée est l’occasion de rappeler que des centaines de milliers de personnes manquent à l’appel en raison de conflits armés, de violence et d’autres crises humanitaires. Les familles des personnes disparues vivent dans l’incertitude et l’angoisse chaque jour, sans nouvelles de leurs proches.
Sharla Kojima est une intervenante du programme Bien-être et environnements sécuritaires. Membre d’une équipe de la Croix‑Rouge canadienne dépêchée au Manitoba, elle travaille à Winnipeg auprès de membres des Premières Nations évacués à la suite des feux de forêt qui ont fait rage près de leurs communautés, y occasionnant des préoccupations liées à la qualité de l’air.
Frappée par de nombreux sinistres d’envergure au cours des dernières années, Haïti a été secouée par un séisme de magnitude 7,2 le 14 août dernier. Cet événement a accentué la précarité d’une population déjà fragilisée en plus de ravager des infrastructures essentielles, y compris des installations médicales, des routes et des ponts et de provoquer plus de 2 1800 morts, plus de 12 200 blessés et 298 disparus à ce jour.
Ce Montréalais originaire du Burkina Faso a consacré les dix dernières années à faire progresser l’accès aux soins pour les mères, les nouveau-nés et les enfants dans plusieurs communautés rurales des régions de Sikasso et de Koulikoro au Mali.
Au début de la pandémie de COVID-19, alors que l’on commençait tout juste à entrevoir l’ampleur que prendrait la maladie, les Services de santé de l’Alberta ont commencé à intensifier leur capacité de dépistage. À quelque 10 000 kilomètres de là, en Asie du Sud-Est, la Croix-Rouge philippine en a eu vent.