L’Association francophone de Brooks travaille fort pour continuer d’offrir ses programmes malgré les difficultés que pose la pandémie. Pour y arriver, on a mis en place des mesures de vérification de la température et de distanciation physique, et le personnel procède au nettoyage fréquent des surfaces, des salles de bain et des trois fourgonnettes utilisées pour assurer le transport des participants entre le centre et les lieux où se déroulent les activités.
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L’été, c’est généralement dans les parcs et les aires de jeux que les jeunes canadiens passent le plus clair de leur temps. Dans le contexte actuel, l’incertitude persiste : alors que certaines régions ont choisi d’ouvrir leurs portes, d’autres préfèrent maintenir la fermeture des espaces communs, particulièrement ceux destinés aux enfants. De plus, certaines personnes hésitent toujours à s’aventurer dans les lieux publics. Mais pour les jeunes, le temps commence à être long (comme vous l’avez possiblement constaté à la maison). C’est pourquoi nous avons pensé vous fournir quelques idées pour continuer de divertir les enfants à domicile.
En réponse à la pandémie de COVID‑19, des bénévoles de la Croix‑Rouge canadienne sont à pied d’œuvre dans leur collectivité pour venir en aide aux plus vulnérables. Certains bénévoles, comme Luc et Adele, se déplacent de porte en porte à Ottawa pour s’assurer de la santé et du bien-être de la population.
Lors de l’arrivée de la pandémie, Phyllis s’est sentie prête à y faire face, car elle s’y était préparée. Étant l’une des principales personnes à s’occuper de son père Peter, âgé de 87 ans, Phyllis a mobilisé ses frères et sœurs afin de coordonner un bon soutien et d’organiser son ravitaillement ainsi que des livraisons spéciales lorsque tous les membres de la famille seraient confinés chez eux. Toute la famille s’est efforcée du mieux qu’elle pouvait de maintenir un lien virtuel avec Peter et aussi entre eux, et ce, plus souvent qu’ils ne le faisaient en personne auparavant. Mais après environ un mois d’isolement et la terrible chute de son père dans son appartement, Phyllis a réalisé que la pandémie avait des répercussions physiques et mentales bien plus importantes sur son père âgé que ce à quoi elle s’était préparée.
Au cours des cinq dernières années, dans le cadre des opérations internationales de la Croix-Rouge canadienne, j’ai participé à diverses interventions à travers le monde, de l’ouragan Matthew en Haïti au mouvement de population au Bangladesh, à la crise d’Ebola en République démocratique du Congo. Cependant, avec l’arrivée de la COVID-19, 2020 est devenue une année sans précédent qui a entraîné un changement dans notre travail. Nous sommes passés d’une orientation internationale à une orientation plus nationale.
La Croix-Rouge canadienne a été mandatée par le gouvernement pour fournir une aide vitale dans des centres d’hébergement et de soins de longue durée (CHSLD). L’organisation a donc recruté une « force humanitaire » dont fait partie Wilson Restrepo. Voici son histoire.
RePère est un organisme communautaire à but non lucratif ayant pour mission de favoriser le développement des compétences paternelles en offrant aux pères les outils nécessaires pour créer et maintenir de bonnes relations avec leurs enfants. Ses objectifs principaux sont d’offrir un soutien aux pères en difficulté et de permettre aux hommes de se définir dans leur rôle de père. Il œuvre depuis maintenant 25 ans dans la région de Montréal.
Lorsque les autorités provinciales ont déclaré l’état d’urgence en raison de la COVID-19, je n’étais pas dans un état tout à fait normal. Je venais juste de perdre ma grand-mère et j’étais encore sous le choc. Je me sentais confuse et effrayée. J’ai passé de nombreuses nuits blanches, les yeux rivés sur l’écran pour suivre les nouvelles. Dans les semaines qui ont suivi, des amis et des membres de ma famille m’ont raconté vivre exactement la même chose que moi.