La Croix-Rouge intervient à la suite d’un tremblement dévastateur en Équateur

| 17 avril 2016

La Croix-Rouge intervient en Équateur, où un violent tremblement de magnitude 7,8 a fait des centaines de morts et plus de 588 blessés, selon les bilans provisoires.

La Croix-Rouge équatorienne a mobilisé des centaines de bénévoles qui sont à pied d’œuvre pour administrer les premiers soins et participer aux opérations de recherche et de sauvetage. Le tremblement a secoué la côte pacifique du pays le samedi 16 avril, en soirée. La Croix-Rouge est en train de mobiliser ses ressources aux échelles régionale et internationale afin d’appuyer les secours humanitaires.

Le président de l’Équateur a décrété l’état d’urgence. La catastrophe a gravement endommagé les routes, détruit des ponts et provoqué des pannes d’électricité. Une équipe nationale d’intervention lors de catastrophes a été dépêchée sur les lieux afin d’effectuer une analyse rapide des besoins.

Les Canadiens désireux d’appuyer les efforts de la Croix-Rouge en Équateur peuvent faire un don au fonds « Séisme en Équateur »

Au sujet des appels de fonds de la Croix-Rouge canadienne

Lorsque la Croix-Rouge lance un appel de fonds, les dons recueillis servent à aider les collectivités et les pays à se rétablir au lendemain de situations d’urgence et de catastrophes en leur fournissant des secours. Une fois les besoins immédiats comblés, les fonds amassés peuvent être placés en fiducie afin d’être utilisés dans la région sinistrée ou ailleurs pour renforcer la résilience des collectivités aux catastrophes et aux urgences éventuelles, ou encore pour fournir de l’aide humanitaire si de nouveaux besoins se manifestent.

Les coûts liés à la collecte de fonds dans le cadre d’intervention d’urgence ne représentent pas plus de 5 % des sommes recueillies. Le reste des fonds servent à venir en aide aux personnes, aux familles et aux collectivités vulnérables. De ce total, la Croix-Rouge canadienne investit un faible pourcentage (1,5 %) dans des activités qui lui permettent de maintenir son état d’alerte et d’être prête à intervenir lors d’éventuelles catastrophes. 

AP Photo / Dolores Ochoa